Les psychologes se manifestent.....................suite à la supression d’une mission essentielle de l’hôpital : "la prise en compte des aspects psychologique chez les patients, autrement dit leur santé psychique.

Petite revue de presse suite à la mobilisaion du 19 juin 2014

Les comptes rendus du SNP suite aux entrevues ci dessous dans l’espace commentaires :http://www.psychologuesenresistance.org/spip.php?article594. Comment parler à des autistes ou des monarques les psychologues ne sont pas les plus mal "outillés" pour tenter de leur parler et pourtant................ Prévisibles ces réponses et décalée cette mobilisation, Etait ce le bon angle d’attaque ? Non, Facile à dire cela après coup, Cependant nous vous invitons à rejoindre notre mouvement "l’intercollége des psychologues de France" afin d’oeuvrer à une mobilisation efficace et d’envergure pour faire avancer notre profession et donner aux représentants de la profession une visibilité qu’il n’ont plus.

20minutes.fr

 


 


 



Les psychologues manifestent pour clamer leur détresse :SANTE - Ils dénoncent les contrats précaires, les salaires qui stagnent et le manque de moyens dans le service public…


Pendant cinq ans, elle a travaillé chaque jour, sur le même poste, sans avoir signé le moindre contrat. « Dans le public, c’est légal… Cela s’appelle être vacataire. C’est une situation très sympa quand vous avez rendez-vous avec votre banquier ! », sourit Julie, 30 ans. Ce jeudi, comme nombre de ses confrères, cette psychologue est en grève. Et elle est venue à Paris pour participer à une manifestation nationale (1) et surtout, pour exprimer son ras-le-bol.


Parce que son parcours du combattant n’est pas terminé : il y a un mois, Julie a signé son premier CDD. Il durera trois ans et si son employeur -le Conseil général des Hauts de Seine- le veut bien, il pourra le renouveler pendant encore trois ans. Chose impossible dans le privé, où les contrats précaires ne peuvent excéder les 18 mois. « Mais le droit du travail ne s’applique pas à l’Etat… Lui crée ses propres règles ! », s’agace Sandy, 29 ans, en poste dans un hôpital du Loir-et-Cher.


Une grille des salaires bloquée depuis 23 ans


Julie n’est pas une exception : « 60 % des psychologues exerçant à l’hôpital et 40 % de ceux travaillant dans la fonction publique territoriale n’ont pas le statut de fonctionnaire. Ils sont contractuels », lance Marie-Thérèse Fourgeaud, de la CGT. « Il n’est pas normal qu’il y ait autant de précaires dans notre profession… Comme dans les autres métiers de la fonction publique, cette part ne devrait pas excéder les 25 % », souffle Guillaume Lugez, du Syndicat national des psychologues.


Mais à l’heure des réductions d’effectifs, les concours pour accéder à un poste de psychologue titulaire se font de plus en plus rares. Quant aux salaires, ils stagnent. « Notre grille n’a pas été réévaluée depuis 1991 », insiste Marie-Thérèse Fourgeaud. « Après cinq ou huit années d’études, un psychologue débute à 1.500 euros bruts, soit 1.300 euros nets, et il peut toucher ce salaire pendant dix ans… Sans compter tous ceux qui sont à un mi-temps forcé et qui gagnent donc moins de 700 euros par mois », poursuit Guillaume Lugez.


Si les moyens manquent, les besoins, eux, augmentent. « Dans le service public, nous ne faisons pas des consultations de confort, encore moins depuis la crise. Les gens que nous recevons vont vraiment mal, ils sont victimes de harcèlement au travail, certains dorment dans la rue alors qu’ils ont un job, d’autres sont au chômage et puis, nous accueillons de plus en plus de personnes totalement désocialisées… », raconte Stéphanie, 40 ans, psychologue au centre hospitalier d’Orsay (Essonne).


« Il mange des cailloux, il agresse ses copains »


« Il suffit de passer dans un hôpital pour comprendre que la prise en compte de la souffrance psychologique n’est pas du luxe », avance Elise, 38 ans, qui travaille dans un service de maternité. « De toute façon, les personnes qui ne sont pas prises en charge, on les retrouve ailleurs : en prison parfois, mais surtout dans le métro parisien… C’est devenu le plus grand hôpital psychiatrique de France, mais personne n’y est soigné », ajoute Julie.


Cette trentenaire travaille pour l’aide sociale à l’enfance et évoque le cas de Tom (2), un garçon de 9 ans abandonné par ses parents : « Il mange des cailloux, il agresse ses copains… Un jour, il est monté sur une échelle et, une fois arrivé en haut, il s’est laissé tomber sur le sol. Il s’est jeté d’un bloc, comme ça. Il est dangereux pour lui-même et pour les autres ». Julie a demandé à l’hôpital une prise en charge psychologique… Tom l’attend depuis trois ans maintenant. « Si on a de la chance, il aura peut-être une place à la rentrée… ».


(1) Manifestation organisée par la CGT, la CFTC, Sud, FO et le Syndicat national des psychologues (SNP)
(2) Prénom d’emprunt


FO en parle ici

Vos commentaires

  • Le 22 juin 2014 à 08:38, par psycho En réponse à : Les psychologes se manifestent.....................suite à la supression d’une mission essentielle de l’hôpital : "la prise en compte des aspects psychologique chez les patients, autrement dit leur santé psychique.

    [FPH,FPT,PJJ] Mobilisation du 19 juin 2014
    Merci au près de 1 000 psychologues qui ont répondu présent à l’appel intersyndical à Paris !
    Et ce malgré les perturbations des transports liées au mouvement de grève SNCF.

    Nous publions ici le compte-rendu SNP de cette journée de mobilisation nationale du 19 juin 2014 (à lire en pdf ou ci-dessous)

    La mobilisation intersyndicale se poursuivra en septembre prochain !

    Environ 1 000 psychologues ont répondu présent à l’appel intersyndical à Paris et ce malgré les perturbations des transports liées à la grève de la SNCF.
    Nous avons formé un cortège qui s’est déplacé de la place de la Catalogne jusqu’au ministère des affaires sociales et de la santé que nous avons unanimement hué.

    MINISTERE DE LA DECENTRALISATION ET DE LA FONCTION PUBLIQUE

    Nous avons été reçus le matin par Mme LEBRET conseillère sociale auprès de la ministre Mme LEBRANCHU.
    Les syndicats CFTC, CGT, FO, SNP et SUD étaient représentés. Au sein du SNP, Guillaume LUGEZ a représenté la commission FPH et Martine RAVINEAU la commission PJJ.
    Après que nous ayons exposé le contenu de nos revendications pour les psychologues de l’ensemble de la fonction publique, Mme LEBRET nous a répondu :

    1/ Concernant la précarité dans la FP : que la proportion de contractuels chez les psychologues est « sidérante », mais que le ministère de la fonction publique ne peut donner d’instructions aux établissements sur la gestion du budget de titularisation ;

    2/ Concernant la rémunération dans la FP : que nous avons « visiblement été les oubliés » des revalorisations de la catégorie A, mais qu’elle ne pouvait pas répondre seule à cette revendication.
    Seule une revalorisation alignée sur les professeurs certifiés pourrait éventuellement être envisagée dans l’immédiat, sans certitude.
    Mme LEBRET nous a indiqué que l’architecture des grilles indiciaires de la fonction publique sera revue et différenciée en fonction des diplômes, qualifications et responsabilités durant les 5 à 10 prochaines années.
    Elle a rappelé l’absence d’évolution du point d’indice en 2014 et 2015 et a annoncé une exonération des cotisations retraites jusqu’au 6ème échelon des professions situées entre 1 et 1,5 SMIC.

    3/ Concernant les conditions d’exercice dans la FP : que notre rattachement hiérarchique était sur le terrain « assez loin de l’application des textes en effet » et qu’un statut unique transversal aux trois fonctions publiques « peut avoir du sens pour les psychologues ».
    Mme LEBRET s’est montrée intéressée par une approche globale de la profession dans ses différents lieux d’exercice, et nous avons à cette occasion souligné la nécessité de prendre en compte les exigences déontologiques particulières notre exercice.
    Elle a néanmoins précisé que les travaux de réforme des statuts et de la mobilité au sein de la fonction publique se feront sur la base du même calendrier que les grilles indiciaires, c’est-à-dire là encore dans les 5 à 10 ans.
    Suite à notre alerte concernant la rédaction inquiétante et précipitée d’un statut ministériel pour les psychologues de la justice, elle a indiqué ne pas être informée du travail en cours mais qu’elle comptait se renseigner sur le sujet avant toute signature.

    En conclusion : des constats compatissants, des projets lointains ; aucune réponse satisfaisante à la situation particulièrement critique des psychologues dans la fonction publique.

  • Le 22 juin 2014 à 08:39, par psycho En réponse à : Les psychologes se manifestent.....................suite à la supression d’une mission essentielle de l’hôpital : "la prise en compte des aspects psychologique chez les patients, autrement dit leur santé psychique.

    MINISTERE DES AFFAIRES SOCIALES ET DE LA SANTE
    Nous avons été reçus en fin d’après-midi par Mme PARIER, conseillère en charge des ressources humaines du système sanitaire (RHSS) auprès de la ministre Mme TOURAINE, et Mme LENOIR-SALFATI, sous-directrice des RHSS par intérim à la DGOS.
    Les syndicats CFTC, CGT, FO, SNP et SUD étaient représentés (pour le SNP : Guillaume LUGEZ et Pierre SOUSTRE).
    Après que nous ayons exposé le contenu de nos revendications pour les psychologues dans la FPH, Mme PARIER et Mme LENOIR-SALFATI nous ont répondu :

    1/ Concernant la précarité dans la FPH : que la circulaire DGOS du 30 avril 2012 a déjà reprécisé aux établissements les conditions de recrutement des psychologues et que notre situation sera « abordée dans le cadre du comité de suivi des concours réservés ».
    Mmes PARIER et LENOIR-SALFATI ont déclaré avoir pris note des difficultés de titularisation des psychologues à temps non complet et nous ont indiqué que « le décret sur les temps non complets dans la FPH sera peut-être étudié ».

    2/ Concernant la rémunération dans la FPH : qu’il n’y aurait pas de mandat d’ouverture de négociations salariales « dans le contexte actuel » et que ce point serait « à voir en interministériel ».

    3/ Concernant les conditions d’exercice dans la FPH : que les problématiques liées à l’autonomie professionnelle et à la fonction de FIR ont déjà été traitées dans la circulaire DGOS du 30 avril 2012 et qu’il faut « tirer le bilan de l’expérimentation » avant d’aller plus loin.
    Mme PARIER nous a informé que la prise en compte de la dimension psychologique dans les missions des établissements de santé sera réintroduite dans la future loi de santé.

    4/ Sur l’expérimentation de la structuration institutionnelle dans la FPH : Mme LENOIR-SALFATI nous a indiqué qu’elle ne nous avait « pas encore répondu » quant à l’intégration du SNP dans le comité de suivi.
    Notre demande d’intégrer ce comité de suivi a reçu un soutien ouvert de la CFTC, qui a également proposé d’intégrer une représentation des étudiants en psychologie.
    Mme LENOIR-SALFATI a déclaré qu’elle communiquerait sur l’engagement d’une centaine d’établissements dans la structuration et qu’elle était prête à « proposer des avancées », à l’issue de l’expérimentation car elle ne voulait « rien imposer par le haut aux psychologues ».
    A cette occasion, elle a indiqué avoir été interloquée par l’hostilité de certains courriers reçus de membres de la profession lors du démarrage de la structuration.
    Enfin, une attention particulière a été portée à la gratification des stages de psychologie, Mme PARIER souhaitant que les syndicats réalisent un état des lieux des refus de stage.

    En conclusion : non reconnaissance des insuffisances de la circulaire de 2012, pas volonté de
    prévoir des dispositions spécifiques pour la titularisation et la rémunération des psychologues
    dans la FPH ; la mobilisation intersyndicale se poursuivra au mois de septembre 2014.

  • Le 23 juin 2014 à 09:20, par psycho En réponse à : Les psychologes se manifestent.....................suite à la supression d’une mission essentielle de l’hôpital : "la prise en compte des aspects psychologique chez les patients, autrement dit leur santé psychique.

    Dialogue social
    Le mouvement intersyndical des psychologues se poursuivra au mois de septembre prochain

    Un millier de psychologues ont répondu à l’appel à manifester le 19 juin lancé par une intersyndicale dénonçant la précarité de la profession au sein de la fonction publique. Reçus aux ministères de la Santé et de la Fonction publique, leurs représentants, insatisfaits des échanges, annoncent d’ores et déjà la poursuite du mouvement en septembre.
    Environ 1 000 psychologues ont répondu présents à l’appel intersyndical à Paris pour alerter sur la précarité de la profession et "ce, malgré les perturbations des transports liées à la grève de la SNCF", a annoncé le Syndicat national des psychologues (SNP) dans un communiqué, précisant que le cortège des manifestants s’est déplacé de la place de la Catalogne jusqu’au ministère des Affaires sociales et de la Santé. Les représentants des syndicats CFTC, CGT, FO, SNP et Sud ont été reçus en fin d’après-midi par Ève Parier, conseillère en charge des ressources humaines du système sanitaire (RHSS) auprès de Marisol Touraine, et Michèle Lenoir-Salfati, sous-directrice des RHSS par intérim à la DGOS, pour y exposer leurs revendications (lire ci-contre).
    La circulaire DGOS de 2012 suffisante ?

    Concernant la précarité dans la fonction publique hospitalière (FPH), il aurait été répondu à l’intersyndicale que la circulaire DGOS du 30 avril 2012 a déjà "reprécisé aux établissements les conditions de recrutement des psychologues" et que leur situation serait "abordée dans le cadre du comité de suivi des concours réservés". Les représentantes du ministère ont déclaré avoir pris note des difficultés de titularisation des psychologues à temps non complet et ont indiqué que "le décret sur les temps non complets dans la FPH sera peut-être étudié". Concernant la rémunération dans la FPH, il a été indiqué qu’il n’y aurait pas de mandat d’ouverture de négociations salariales "dans le contexte actuel" et que ce point serait "à voir en interministériel". Selon le ministère, les problématiques liées à l’autonomie professionnelle et à la fonction de "Formation, information, recherche" ont par ailleurs déjà été traitées dans la circulaire DGOS précitée et il conviendrait de "tirer le bilan de l’expérimentation" avant d’aller plus loin.

    L’intersyndicale a été par ailleurs informée que la prise en compte de la dimension psychologique dans les missions des établissements de santé sera réintroduite dans la future loi de Santé. Sur l’expérimentation de la structuration institutionnelle dans la FPH, la sous-directrice de la DGOS a indiqué qu’elle ne leur avait "pas encore répondu" quant à l’intégration du SNP dans le comité de suivi. Cependant, la demande du syndicat a reçu un "soutien ouvert de la CFTC", qui a également proposé d’intégrer une représentation des étudiants en psychologie. La représentante de la DGOS a déclaré qu’elle communiquerait sur l’engagement d’une centaine d’établissements dans la structuration et qu’elle était prête à "proposer des avancées", à l’issue de l’expérimentation car elle ne voulait "rien imposer par le haut aux psychologues". Elle aurait par ailleurs indiqué avoir été interloquée par l’hostilité de certains courriers reçus de membres de la profession lors du démarrage de la structuration. Enfin, une attention particulière a été portée à la gratification des stages de psychologie, le cabinet souhaitant que les syndicats réalisent un état des lieux des refus de stage.
    Poursuite du mouvement à la rentrée

    Pour l’intersyndicale, l’entrevue a donc abouti à une non-reconnaissance des insuffisances de la circulaire de 2012 et traduit une absence de volonté de prévoir des dispositions spécifiques pour la titularisation et la rémunération des psychologues dans la FPH. Elle annonce donc que la mobilisation intersyndicale se poursuivra au mois de septembre 2014. Plus tôt dans la journée, les représentants syndicaux avaient été reçus par Sophie Lebret, conseillère sociale de la ministre de la Réforme de l’État, de la Décentralisation et de la Fonction publique, Marylise Lebranchu, mais n’aurait reçu aucune "réponse satisfaisante" à ses attentes. Celle-ci aurait reconnu que la proportion de contractuels chez les psychologues est "sidérante" mais que le ministère ne pouvait donner d’instructions aux établissements sur la gestion du budget de titularisation. Elle a par ailleurs indiqué que l’architecture des grilles indiciaires de la fonction publique serait revue et différenciée en fonction des diplômes, qualifications et responsabilités durant les cinq à dix prochaines années, suivant le même calendrier que les travaux de réforme des statuts et de la mobilité au sein de la fonction publique. Enfin, elle a rappelé l’absence d’évolution du point d’indice en 2014 et 2015 et a annoncé une exonération des cotisations retraites jusqu’au 6e échelon des professions situées entre 1 et 1,5 Smic.
    Caroline Cordier
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  • Le 24 juin 2014 à 15:17, par psycho En réponse à : Les psychologes se manifestent.....................suite à la supression d’une mission essentielle de l’hôpital : "la prise en compte des aspects psychologique chez les patients, autrement dit leur santé psychique.

    Mobilisation des psychologues

    Poursuivons l’action....

    La mobilisation de la journée du 19 juin, intersyndicale, CGT, CFTC, FO, SNP, SUD fut une très belle

    réussite, plus de 800 participants à la manifestation à Paris !

    UN GRAND BRAVO A TOUS les psychologues, étudiants, actifs dont bon nombre de contractuels,

    retraités, qui sont venus manifester dans les rues de Paris dans une ambiance chaleureuse et très

    Notre mouvement prend de l’ampleur en nombre de grévistes mais aussi en région. Il s’étend aux

    différents champs d’intervention de notre profession, PJJ, Territorial, secteur médico-social, privé et

    conventionné... Ce résultat est une réponse très encourageante à la mesure de toute l’énergie pour cette

    Une délégation a rejoint, avant notre manifestation, le mouvement des cheminots et des intermittents,

    persuadés de l’importance de la convergence des mouvements.

    Des rencontres ont eu lieu aux ministères de la fonction publique et de

    la santé et des affaires sociales mais aucun ministère n’a fait

    d’ouverture pour des négociations salariales !

    Nous avons été reçus, le matin par Mme Lebret, conseillère aux affaires sociales auprès de Mme 

    Lebranchu, et en fin de journée par Mmes Parier, conseillère auprès du ministre Marisol Touraine et

    Mme Lenoir Salfati sous directrice à la DGOS.

    Mme Lebret a évoqué la création d’un corps de psychologue dans la fonction publique d’état en cours

    de préparation. Nous proposons que ce corps soit la référence pour toutes les administrations de la

    fonction publique d’état. Le ministère refuse d’accéder à nos revendications spécifiques et nous

    renvoie au projet général de "réforme architecturale" qui s’étalerait sur 6 ou 7 ans.

    Mmes Parier et Lenoir Salfati ont réaffirmé la volonté du ministère de réintroduire la dimension

    psychologique dans la prochaine loi de santé publique à l’écriture au parlement.

    Les accords DURAFOUR pour les échelons 3, 4 et 5 ne seront jamais appliqués, car

    considérés comme une revalorisation de salaire !

    Aucune proposition concrète pour la gratification des stages dont la loi fait obligation.

    Nos revendications sur l’ouverture de négociations salariales, la

    réduction de la précarité, la reconnaissance de légitimité de notre

    profession sont totalement méprisées par les ministères !!

    Nous poursuivons notre mouvement jusqu’à

    la satisfaction de nos revendications.

    Dès la rentrée de septembre nous appelons à poursuivre nos

    actions en région pour renforcer notre mouvement.

    Montreuil, le 23 juin 2014