Plan national psychiatrie et santé mentale

Au regard de l’histoire des rencontres entre les représentants de la profession et le ministère de la santé (dgs, dgos...), il est peu recommandé de vendre la peu de l’ours avant une quelconque publication.
Il est recommandé de chercher à savoir pourquoi les psychologues ne sont pas crédité d’un minimum de crédibilité dans des réunions qui concernent notre utilité sociale, la prise en compte de nos responsabilités en terme de salaire, de reconnaissance (cf décret de psychothérapeute)...
Le dernier plan de santé mentale 2005-2008 n’a pas été pris en compte par les psychologues eux même dans un paragraphe de 10 lignes qui permettait de mettre en oeuvre des projets de psychologie dans les établissements de santé. Quid de ces projets ?
Notre individualisme, notre impossibilité de faire corps dans des moments importants de notre survie semblent être un début de réponse.
jean paul aubel

Info dernière minute du SNP : Notre recours en conseil d’Etat sera jugé le 21 septembre prochain !


Le SNP a été convié à la mise en chantier du plan pour la psychiatrie.

Nous avons, lors des deux réunions d’installation du Comité d’orientation du Plan de Santé mentale qui ont eu lieu en juillet, fait valoir la place importante tenue par les psychologues dans toutes les institutions psychiatriques.

Nous avons mis en avant les capacités des psychologues à y prendre des responsabilités et notre souhait de voir celles-ci accrues.

Ces réunions ont été pour nous aussi l’occasion de rappeler l’importance de la présence d’une profession des sciences humaines dans la prise en charge des patients en psychiatrie.

Nous avons également souligné la demande par la profession d’un allongement de la formation des psychologues et d’une régulation de la déontologie et de l’exercice des psychologues.

Nous attendons, à ce jour, la suite du travail de réflexion et d’élaboration de propositions opérationnelles. SNP